Collection Cocu. By-CœUr Allemands. Saison Iii (8/9)

Hennie, henni Karine quand je te prends avec ton gode tenu par une ceinture offerte par la dame patronnesse à qui comme je l’ai dit, on aurait donné le bon dieu sans confession.
Karine semble avoir un don pour trouver des situations insolites afin de s’envoyer en l’air.
Je sais déjà qu’elle aime les amours féminins, j’en ai fait les frais dès le début de notre collocation.
Mais reconnaître une vieille salope voulant connaître les amours entre femmes dans une foule de vieilles rombières, ça c’est de l’art.
Se faire offrir un gode noir avec des couilles comme des melons, ça aussi c’est très fort.
Homme dans le café, femme à la brocante patronale servant à faire le catéchisme a de jeunes s, comme je le dis, c’est fort c’est très fort.
En attendant, pour la première fois, je fais l’homme, je suis l’homme.
J’ai une paire de testicules à damner les femelles comme cette salope de Karine.
Je sais, je parle gras moi s’y réserver en temps normal.
Je suis le mâle dominant, le black ayant des couilles et une verge qui entre et qui sort de la chatte de mon amie, jusqu’à lui faire atteindre l’extase.

Si elle respecte sa parole de s’abstenir de baiser avec Marcel, pour Agathe, j’ai oublié de l’inclure dans le contrat nous liant jusqu’à la fin des vacances.
Depuis le 15 août, je trouve très long le temps qu’elle met à faire les courses surtout qu’elle a toujours un bon motif pour y aller seule.
C’est le cas ce matin où moi aussi, je suis seule dans la cuisine d’été.
Karine au petit supermarché et Sylvain avec les s à la grotte des Anglais près de Vic.
Je nettoie les traces de la soirée d’hier légèrement arrosée.
Un moment nous sommes allés au cerisier et j’ai profité de la nouvelle planche pour me balancer sans risque de chute comme au début de mes vacances.
C’est dans la chambre sans le regard des autres qu’avec Sylvain nous avons fait l’amour.
Il m’a pris comme au premier jour, sans que j’aie la moindre envie à des jeux un peu poussés.


Trois, ça fait trois jours que j’aurais dû avoir mes règles, moi qui suis réglée comme une horloge.

Revenons à Mario qui vient de se lever.
C’est un couche-tard et un lève-tard.
Il arrive derrière moi qui suis en maillot de bain et me passant sa main autour de ma taille, il vient m’embrasser dans le cou.
Sans penser à ce qu’il va faire, je tourne la tête.
Il essaye de me prendre la bouche.
Je le repousse comme si une vipère m’avait piqué.

• Mario, tu es devenue fou, pour qui me prends-tu ?
• Jannine, c’est normal d’essayer, tu es très belle.
• Et Karine et ta fille, pense à elle.
Que ferais-tu si Karine te trompait !
Karine te trompe !
• Non, elle m’aime trop, le seul point où je pourrais avoir des reproches, ce sont ses fesses, elles ont presque doublé depuis notre mariage.
• Et c’est pour ça que tu essayes de me sauter, car les miennes sont moitié moins grosses.
Tu as de la chance que je veux que notre affaire marche, sinon je dirais à Sylvain ce que tu as essayé de faire.
• Je t’en supplie, c’était une connerie, j’ai été fidèle jusqu’à ce jour comme Karine l’est avec moi.
Soit sûre que je me souviendrais de l’erreur que je viens de faire.

Pauvre con, je vois que dans son calbute, il bande.
Un autre que lui, j’aurais peut-être cédé.
Je l’ai bien fait avec Marcel sans le connaître deux minutes avant.
J’ai bien fait lorsque j’entends une voiture s’arrêter.
C’est Karine qui revient toute guillerette.
Commençant à bien la connaître, si je lui mets la main à la chatte, je suis sûr qu’elle est dégoulinante.

• Ça va les amoureux.
• Bibiche j’ai horreur de ces suspicions, avec Jannine, la femme de mon meilleur copain.

Si Karine est la reine de la baise avec repartie dès qu’elle se sent agressée ou en faute, devant son café que je lui ai servi, comme faux cul, lui aussi est un maître.

C’est à trois jours de notre fin de vacances que la nouvelle arrive sur le portable de Mario.

Nous avons été à l’étang faire nager les s et nous venons de commencer le barbecue.
Son portable sonne.

• Quoi Luis, la Mama est en soin intensif ?

C’est le matin qu’avec Sylvain afin de se relayer, ils prennent la route avec ma voiture.
Par chance, Covid oblige, les frontières sont ré ouvertes.
Nous ferons le retour des s à Paris dans la voiture où ils pourront regarder la télé et rester sages.

• Maman, on s’arrête, c’est là qu’on a bu un coup avec papa et Mario.

Sur le devant un panneau publicitaire du journal local, « qui a gagné plus de 2 millions d’euros à Clermont-Ferrand ? »
De nombreuses personnes font la queue comme des moutons de Panurge.
Nous passons notre route, trop tôt pour nous arrêter.
Quand j’y pense, c’est moi qui ai notre ticket.
Inutile de prendre des risques de lui faire passer des frontières.

Nous prenons l’autoroute, direction la capitale.
Dans le rétro, je vois que les s dorment.

• Dis-moi, comment ça s’est passé avec Agathe !
• Agathe ?
• Fiche-toi de moi, trop court pour que tu sois allé à Vic baiser avec Marcel et trop long pour simplement aller au supermarché.
• De quoi parles-tu ?

Je m’explique, surtout pour Marcel, nom que j’ai donné à l’homme qui m’a fait passer dans le monde de la tromperie envers mon mari.

• Tu as raison, c’est avec Agathe, c’est moins grave qu’avec un homme.
Sais-tu qu’elle a déjà remplacé son gode qu’elle m’a offert ?
C’est en 48 heures chrono qu’elle l’a fait livrer.
Elle m’a dit que la factrice lui ayant apporté le colis lui a demandé si elle portait une réclamation tout en s’excusant.
• Elle avait vu ce qu’il y avait à l’intérieur !
• Oui, car lorsque Agathe lui a proposé d’entrer.
• Elle lui a proposé de prendre une douche.
• Tu y étais !
• Non, mais avec toi c’est ainsi qu’elle a procédé.
• C’est vrai, non, là, la factrice a refusé, le temps chez chaque client étant mesuré.

• Et elle est revenue après son service se faire éclater avec le gode.
• Je crois sérieusement que tu y étais.
• Non, mais je vois bien la scène.
• Tu as donc été la deuxième à te faire prendre avec son nouveau sexe de substitution !
• Oui, mais elle l’avait désaffecté, dit, tu mouilles à mon récit !

Karine a passé sa main dans mon short me caressant la fente.
C’est vrai que je mouille.

• Les s, je les regarde, ils dorment.
J’ai faim, on s’arrête.

Pour éviter les queues interminables dans les aires d’autoroute où l’on peut manger et en cas de besoin remplir nos réservoirs.
J’ai préparé la glacière avec de quoi faire des sandwichs.
Je sors, par chance une table à l’ombre est libre, nous nous installons.
Les s après avoir mangé s’amusent à se courir après.

• Ce soir tu couches chez moi !
• Si tu en as envie, bien sûr, tu sais.
• Que le 18e, même pas en rêve.
• Exact.

Jules arrive en courant.

• Maman, emmène-moi aux toilettes !
• Tu es un homme fait pipi le long d’un arbre à l’écart des gens.
• Maman, faire pipi dans la nature, ça la dégrade, emmène-moi aux toilettes.

Je me lève et nous prenons le chemin des restaurants.
Quand il entre dans les coins de soulagement, je tiens la porte pour voir s’il a besoin de moi.
Un homme en costume trois-pièces malgré la chaleur sort de la cabine voisine.
Il me regarde, je le regarde, ses yeux me séduisent et je pense qu’il en est de même pour lui.
Je suis à deux doigts d’entrer complètement dans le coin homme pour le repousser dans la cabine d’où il vient de sortir pour qu’il me baise comme je l’ai fait à Vic par Marcel.
Dommage, d’ignorer le nom de celui qui m’a fait prendre mon pied en quelques secondes.
Dans la cabine voisine, un homme âgé sort appuyé sur sa canne.
L’homme ouvre la porte entièrement en me frôlant et retourne vers sa voiture et sa vie d’homme d’affaires.

Que m’arrive-t-il, Jules me rejoint, je suis frustrée...

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